CAKEWALK « Ishihara »
Ça commence plutôt rock, batterie en avant et basse ronflante, ça continue un peu comme un « Jerk électronique » de Pierre Henry, survolé par un synthé facétieux (ah ! ce son de flipper de café des années 70 dans « Schrooms »), ça passe par une intro à la Pink Floyd, ça décolle en nappes bruitistes, bref, ça ne donne ni dans la mélancolie ni dans le champêtre, mais comme pour chacune des parutions du label Hubro, l’univers sonore est original !