SUMMER OF LOVE, 1967

Bmol sur la plage ! En juillet et août, Bmol sera en mode « best of »… Retrouvez donc tout l’été des articles parus depuis 2007, spécialement sélectionnés par notre équipe. Ceux que l’on a aimé passionnément, qui ont déclenché la curiosité, les passions, les commentaires voire les sourires, et qui vous avaient peut être échappé…

(Première publication : juillet 2007)

Le « Summer of love » californien de 1967 revu depuis Grenoble. Comment fêter, dignement et en musique, les quarante ans cinq du mythique « Summer of love » de 1967 à San Francisco et Monterey ? En se replongeant dans l’atmosphère musicale et hippie du moment, en trois (seulement et arbitrairement !) incontournables :

JEFFERSON AIRLANE, « Surrealistic Pillow »

Cet album fait de Jefferson Airplane le groupe phare de San Francisco et de la vague hippie. Publié en 1967, ce disque, plein d’énergie, de lumière et de romantisme devient l’album de référence du « Summer of Love ».
Grand classique du rock psychédélique, il reste le disque représentatif d’une époque où la musique sort des schémas classiques. Cet album sorti en février 1967 est le second du groupe, il a été réédité en cd dans les années 80.

younger.jpgBYRDS, « Younger than yesterday »

Ce groupe californien a été à l’origine de nombreux courants musicaux : le folk–rock, le rock psychédélique et le country-rock. Leur créativité musicale est indéniable et c’est en fusionnant les genres musicaux qu’ils deviendront un groupe culte.
Younger than yesterday paraît en 1967 et devient le meilleur disque du groupe grâce à la présence de sublimes morceaux et d’audaces musicales qui fusionnent les styles (ex : ragga-rock). A (re)découvrir sans tarder.

Woodstock : 3 days of peace & music

Le festival de Monterey, en 1967, fut le premier grand festival musical de tous les temps, porté par l’esprit du «Summer of love». Par contre, le Festival de Woodstock sera le dernier festival de cette époque emblématique.
En visionnant ce DVD, nous pouvons avoir une fugace idée du déferlement musical occasionné par ces festivals, mais surtout, appréhender la liberté de création et d’expérimentations que les groupes et artistes ont pu insuffler dans leur musique et la musique en général.

D’accord ! on était pas né en 1967, mais pas de regrets … et que cela ne nous empêche pas de profiter pleinement de l’excellente programmation du festival local Cabaret frappé et se faire notre « Summer of love » à nous !

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